Ça m’est tombé dessus au printemps, comme une averse normande. Morceau après
morceau, jour après jour, guidé par l’expérience, je retrouvais le plaisir de faire de la
musique. Une fois satisfait, j’ai envoyé une sélection à mon manager. J’avais pris l’habitude
de lui envoyer régulièrement des projets sans queues ni têtes, et lui avait pris celle de ne
plus y répondre. Son SMS envoyé à 1h10 du matin : « Merde, c’est bien ! » faisait office
d’engagement. Wipe Out, et ses 7 chansons, verraient donc le jour.