C’est l’une des questions qui reviennent le plus souvent aux oreilles de nos équipes au moment de lancer votre projet avec nous, et à raison ! L’étape délicate du choix de la gravure sera décisive dans le rendu sonore de votre vinyle. On décrypte tout ça avec vous !

Il existe deux méthodes distinctes pour graver votre musique sur un disque vinyle : le DMM (Direct Metal Mastering) et la Laque.

Le DMM est la méthode de gravure la plus rapide et la moins onéreuse : développée dans les années 80, elle est effectuée sur des disques de cuivre et a tendance à être la plus fidèle au mastering d’origine. Il y a peu de risques de distorsion du son, mais elle tend en revanche à offrir moins de puissance de gain et les sillons, peu profondément gravés, réduisent la durée de vie des plaques.

La gravure sur laques, plus traditionnelle, est constituée de résine : à l’aide d’un burin chauffé, elle permet de graver des sillons plus profonds dans la matrice recouverte d’une pellicule de laque cellulosique. Elle permet d’obtenir un rendu qu’on pourrait qualifier de plus chaud, plus riche et avec davantage de puissance. Nombre d’artistes la privilégient à la DMM pour cette raison, bien qu’elle soit plus longue à effectuer et donc plus chère.

La plupart de nos usines partenaires permettent de presser vos vinyles avec l’une ou l’autre des gravures : libre à vous, en fonction du rendu final que vous désirez (et de votre budget !) de faire votre choix désormais !